Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud

Demain début la Coupe du Monde 2010 de FootBall en Afrique du Sud Voici la carte des 32 Pays engagés

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Voici la composition des 8 groupes

Groupe A

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] France

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Groupe B

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Groupe C

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Angleterre

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Etats-Unis

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Groupe D

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Australie

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Groupe E

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Pays-Bas

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Cameroun

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Groupe F

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Italie

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Slovaquie

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Paraguay

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Groupe G

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Portugal

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Côte-D'ivoire

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Groupe H

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Chili

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Honduras

Afrique du Sud - Mexique 1 - 1

Déception pour les Bafana Bafana après le match nul (1-1) en ouverture de la première Coupe du monde, organisée sur le continent africain. Les Sud-Africains peuvent avoir des regrets face à des Mexicains qui n'ont eux jamais perdu la foi.

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Toute la planète football avait les yeux tournés, cet après-midi, vers le Soccer City Stadium de Johannesburg où plus de 84 490 spectateurs étaient massés pour le coup d'envoi de cette 19e édition du Mondial. Dans le stade, l'ambiance était incandescente, après une cérémonie d'ouverture sobre et chargée d'émotion, en raison notamment de l'absence de l'ancien président sud-africain Nelson Mandela, endeuillé par un drame familial. L'enceinte, qui accueillait ce premier match de la Coupe du monde entre l'Afrique du Sud et le Mexique, était tout de jaune et vert vêtue. Au son des vuvuzelas, dont le bruit assourdissant a rythmé non-stop le cours du jeu, les Bafana Bafana ressortent de cette première rencontre du groupe A, où figurent également la France et l'Uruguay, avec un goût d'inachevé dans la bouche.
Tshabalala, héros de tout un peuple

Tout avait pourtant idéalement commencé pour les hommes de Carlos Alberto Parreira, arrivés pour leur échauffement en dansant, histoire de chasser la pression et faire de ce match d'ouverture une véritable fête. Le scénario de la première période a malgré tout tourné à l'avantage des Mexicains, conscients de la bonne carte à jouer face à des Sud-Africains, soumis au poids de l'événement. Mais les coéquipiers de Rafael Marquez se sont montrés très bouillons devant le but, gâchant plusieurs occasions d'ouvrir la marque. Les Sud-Africains, acculés dans leur moitié de terrain, ont eu toutes les peines du monde à se dégager face à l'armada latino-américaine, pas assez incisive au moment du dernier geste.

Si la première période est donc à mettre à l'actif des Aztèques, le début de la seconde mi-temps démarre sur les chapeaux de roues grâce à la détermination du pays organisateur. En effet, les Sud-Africains réagissent brillamment à la 55e minute grâce au splendide but de Siphiwe Tshabalala, après une passe millimitrée de Teko Modise. Explosion de joie dans le stade pour ce premier but du Mondial aussitôt célébré par une magnifique danse de Tshabalala, épaulé par l'ensemble de l'équipe. En ouvrant le score, l'Afrique du Sud rassure bien sûr ses supporters et montre au reste du monde qu'elle est une formation sur laquelle on peut compter pour assurer le spectacle.
Marquez, le sauveur

C'était sans compter sur la foi inaltérable des Mexicains, bien décidés à dépasser le stade des huitièmes de finale auquel ils sont abonnés depuis 1994. Et on le sentait venir de la part des Aztèques qui égalisent à la 79e minute sous l'impulsion de leur capitaine Rafael Marquez d'un tir à bout portant qui ne laisse aucune chance au gardien Khune.

Dommage pour les Bafana Bafana qui tenaient pourtant bien le fil de cette première victoire. Ce résultat nul (1-1) confirme également une statistique tenace qui veut que le pays hôte ne perd jamais lors de son premier match de Coupe du monde et ce depuis la création de la compétition. Prochain rendez-vous pour les Sud-Africains le 16 juin à Pretoria sur la pelouse du Loftus Versfeld face à l'Uruguay, tandis que le Mexique affronte le lendemain l'équipe de France, à Polokwane au Peter Mokaba Stadium.

Source: francefootball

URUGUAY - FRANCE : 0-0

Les Bleus prennent un point pour leur entrée en lice dans ce Mondial. La France, pas assez réaliste et créative, n'est pas parvenue à faire vaciller une solide formation uruguayenne dangereuse en contre.

Les Bleus s'en contentent

Pour leur entrée en lice dans la Coupe du monde 2010, les Bleus se sont offert quelques progrès dans le jeu pour un match nul frustrant au final (0-0). La titularisation d'Abou Diaby a cependant offert de la fraîcheur aux Bleus.

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Incontestablement, il y a du mieux chez Bleus. De la combativité, déjà, réveillée par l'arrivée de la compétition, la vraie. Mais ce n'est toujours pas suffisant. Face à un Uruguay fidèle à son esprit rugueux et explosif, l'équipe de France a finalement concédé le nul (0-0). Frustrant ? Oui, car la domination d'ensemble a bel et bien été française. Mais à plusieurs occasions, la défense française a fait preuve d'une fébrilité inquiétante. Diego Forlan et Luis Suarez se sont ainsi régalés de longs ballons entre Bacary Sagna et William Gallas. Heureusement pour les Bleus, Hugo Lloris s'est interposé en première période sur une bonne frappe de Diego Forlan, l'homme le plus en vue de la Celeste (16e). En seconde période, c'est encore l'attaquant de l'Atletico Madrid qui a occasionné quelques frissons au camp français avec une reprise au point de penalty non cadrée (73e). Pour le reste, l'équipe uruguayenne n'a rien offert de bien séduisant.
Diaby, l'étoffe d'un patron

Côté Bleu, Sidney Govou pourra longtemps regretter ce plat du pied complètement manqué dès l'entame du match après un joli débordement de Franck Ribéry (7e). Comme Nicolas Anelka, Sidney Govou a traversé la rencontre en toute discrétion. Maladroits, pas dans le bon tempo, les deux joueurs n'ont pas tiré bénéfice de la percussion et de la vista d'Abou Diaby, très convaincant pour sa première apparition en Coupe du monde. Placé entre Jérémy Toulalan et Yoann Gourcuff dans un 4-2-3-1 hybride, le joueur d'Arsenal a créé des brèches que ses coéquipiers, qui manquent toujours cruellement d'automatismes, n'ont pas su exploiter. Avant d'affronter le Mexique, l'équipe de France n'a donc pas profité du nul entre les Aztèques et l'Afrique du Sud un peu plus tôt (1-1). Ce problème récurrent d'efficacité offensive doit absolument être réglé, sous peine de faire le même constat après chaque rencontre. Ces Bleus sont volontaires, mais cela ne suffira pas.

Source: francefootball

Aujourd'hui trois matchs au programmes

13 H 30: Corée du Sud - Grèce ( France 3 )

16 H 00: Argentine - Nigeria ( TF 1 )

20 H 30:Angleterre - Etats - Unis ( TF 1 )

Corée du Sud - Grèce 2 - 0

Vainqueur de la Grèce (2-0), la Corée du Sud a parfaitement entamé sa Coupe du monde. De quoi envisager prendre la deuxième place derrière l'Argentine, favorite du groupe B.

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Pour la deuxième fois seulement en huit participations, la Corée du Sud pourrait franchir le premier tour de la Coupe du monde. Les Guerriers Taeguk se sont en tous les cas offert les moyens d'y croire fermement puisqu'ils ont battu la Grèce (2-0) lors de leur entrée en lice, samedi à Port-Elizabeth. Les Coréens se positionnent ainsi idéalement dans le groupe B qui comporte aussi l'Argentine et le Nigeria. Si l'on peut imaginer que les joueurs de Maradona sortiront en tête, la Corée du Sud pourrait disputer le second accessit aux Nigérians. Enfin, on en est encore loin mais une chose est certaine, à l'occasion de leur septième participation consécutive au Mondial, les joueurs asiatiques ont fait du bon travail.

Vifs et rapides comme à leur habitude, les Coréens ont rapidement solutionné le problème posé les grands gabarits grecs, maîtres en défenses et dans l'art du contre. Dès la 7e minute, Jung-Soo s'est retrouvé seul au deuxième poteau à la reprise d'un coup franc, et ne s'est pas gêné pour catapulter le ballon au fond des filets de Tzorvas. Un geste qui a rappellé un peu celui de Thierry Henry face au Brésil en quart du Mondial 2006. Park Ji-Sung a doublé la mise en profitant parfaitement d'une erreur de relance de la défense grecque, vraiment pataude. Après avoir récupéré dans l'axe, le joueur de Manchester United a résisté au retour de l'arrière-garde hellène pour s'en aller marquer d'un tir du gauche à contre-pied (52e).

Vexés, les Grecs ont ensuite poussé sans succès, Gekas, Kapetanos et Salpingidis enlevant trop leurs tentatives (68e, 70e, 71e). En quatre matches de Coupe du monde, les champions d'Europe 2004 n'ont toujours pas inscrit le moindre but. Avec un peu plus de réussite, la Corée du Sud aurait même pu s'imposer par un écart plus large mais la réussite a fui le Monégasque Park Chu-Young.

Source: francefootball

Argentine - Nigeria 1 - 0

Pour son entrée en lice, l'Argentine l'a emporté sur la plus petite des marges face au Nigeria (1-0) ce samedi, à l'Ellis Park, pour la première de Maradona en Coupe du monde. Suffisant pour revenir à hauteur de la Corée du Sud en tête du groupe B avec trois unités.

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Le 25 juin 1994, Diego Maradona disputait sa dernière rencontre sous les couleurs de l'Albiceleste face au Nigeria (2-1), lors du Mondial disputé aux Etats-Unis. Sympathique coïncidence, El Pibe de Oro a retrouvé les Super Eagles, seize ans plus tard,pour sa première en tant que sélectionneur lors d'une Coupe du monde. Et pour son entrée en lice dans la compétition suprême, l'Argentine n'a pas déçu. Alignée en 4-3-3 avec un trio offensif composé de Messi, Higuain et Tevez, la sélection argentine a remporté son troisième succès (en trois confrontations) face aux Nigérians en phase finale. Auteurs d'une prestation maîtrisée au niveau technique et tactique, malgré quelques relâchements en seconde période, les doubles champions du monde (1978 et 1886) n'ont pas forcé leur talent pour venir à bout du troisième de la dernière CAN.
Heinze, libérateur précoce

Très en jambes d'entrée de jeu, les partenaires de Lionel Messi ont assuré leurs trois premiers points dans cette XIXe Coupe du monde au bout de... six minutes de jeu ! Sur le premier corner de la partie, Heinze, complètement esseulé au centre de la surface, catapultait le ballon en pleine lucarne d'une superbe tête plongeante. Suffisant donc, pour maîtriser une formation nigériane un peu trop brouillonne pour inquiéter l'arrière-garde sud-américaine. Malgré quelques frayeurs sur une incursion d'Obasi (29e), une frappe lourde de Taiwo (71e) hors cadre, ou une reprise d'Uche (83e), l'Argentine n'a pas plié. En manque de réalisme, les ouailles de Maradona auraient d'ailleurs du aggraver sur le score par l'intermédiaire de Messi (36e, 65e, 81e, 90e) ou Higuain (66e) pour se mettre définitivement à l'abri.

Désormais revenue à hauteur des Coréens en tête du classement, l'Argentine, deuxième du groupe B à la différence de buts (+2 contre +1), peut donc assurer sa qualification pour les huitièmes de finale dès sa prochaine rencontre, jeudi, face à la... Corée du Sud !

Source: francefootball

Angleterre - Etats - Unis 1 - 1

L'Angleterre se complique la vie

Grand favori du groupe C, l'Angleterre n'est pas parvenu à confirmer son statut et a concédé le match nul ce samedi contre les Etats-Unis (1-1), pour son entrée en lice dans la compétition. Un score de parité en grande partie du à une boulette de Robert Green !

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Décidemment, l'Angleterre est bel et bien maudite avec ses gardiens de but. Dans la lignée des bourdes de David James ou Ben Foster, la longue histoire d'«amour» entre les Brittaniques et leurs gardiens de but a pris une nouvelle dimension ce samedi. A l'occasion de l'entrée en lice des Three Lions dans cette XIXe Coupe du monde de l'histoire, Robert Green, le portier de West Ham, s'est en effet distingué de la pire des manières. Préféré à James (blessé) et Hart par Fabio Capello pour l'entrée en lice des Anglais face aux Etats-Unis, Green a laissé passer sa chance en relâchant dans son propre but une frappe sans danger de Dempsey (40e), pour l'égalisation américaine.

Car si l'Angleterre a bien eu les occasions de reprendre l'avantage après avoir ouvert la marque par Gerrard (3e), sur leur première incursion, ni Heskey (52e, 77e), Jonhson (64e), Rooney (71e, 75e) ou Wright-Phillips (76e) n'ont pu faire basculer les débats du côté britannique. Un flagrant manque de réussite que les champions du monde 1966 regretteront à coup sûr en revoyant les images. Car si les Etats-Unis ont également eu les opportunités pour prendre l'avantage au cours de cette rencontre totalement débridée, l'Angleterre a clairement réalisé la mauvaise opération face au finaliste de la dernière Coupe des Confédérations. Et malgré un ballon dévié in extremis sur le poteau sur une tentative d'Altidore (64e), Robert Green pourra clairement se mordre les doigts d'un pareil résultat.

Source: francefootball

Au Programmes aujourd'hui trois matchs

13 H 30 (TF1) Algérie - Slovénie

16 H 00 (France 2) Serbie - Ghana

20 H 30 (France 2) Allemagne - Australie

Algérie - Slovénie 0 - 1

L'Algérie rate son retour

De retour en Coupe du monde pour la première fois depuis 1986, l'Algérie s'est inclinée devant la Slovénie (1-0) sur une erreur de son gardien Chaouchi. Les Fennecs pouvaient vraiment espérer mieux face à une formation prenable.

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Ils l'attendaient depuis vingt-quatre ans. Ce fameux match de Coupe du monde, les Algériens avaient enfin gagné le droit de le disputer grâce à un barrage victorieux aux dépens de l'Egypte, champion continental. Confrontés à la Slovénie, l'équipe a priori la plus prenable de leur groupe où figurent aussi l'Angleterre et les Etats-Unis, les Fennecs avaient donc à coeur de fêter leurs retrouvailles avec le Mondial mais ils les ont ratées. Il y avait pourtant la place pour dominer les joueurs de l'Est et prendre trois précieux points afin d'envisager prendre ensuite la deuxième place qualificative pour les huitièmes de finale. Mais l'Algérie est passée à côté (0-1). Après s'être procuré quelques occasions, les Algériens ont craqué en fin de match.
Après Green, Chaouchi

Alors qu'il était entré en jeu à la 58e minute, Ghezzal a compliqué la tâche des siens en écopant de deux cartons jaunes, le premier pour un tirage de maillot et le second, stupide, pour un centre stoppé de la main, synonymes d'expulsion prématurée à la 73e. Six minutes plus tard, Koren inscrivait le but de la victoire slovène en profitant d'une faute de main de Chaouchi (79e) sur un tir loin d'être super dangereux. Le rebond et peut-être une nouvelle fois la qualité de ce ballon si critiqué ont précipité l'Algérie dans la défaite. Décidément, après la bourde du portier anglais Green samedi soir (1-1), les derniers remparts ne sont pas à la fête en Afrique du Sud.

Sous les yeux de Zinedine Zidane, la rencontre avait pourtant bien débuté pour les Fennecs, installés en 3-5-2, Belhadj cadrant un bon coup franc dès la 3e minute. Halliche avait ensuite envoyé une tête piquée juste à côté (36e), au cours d'un match assez brouillon et peu emballant dans la chaleur de Polokwane. Côté Slovène, seul le Sochalien Birsa avait cadré (43e). Yebda (56e) et Ghezzal (70e, 71e) n'avaient pas plus connu de réussite tandis que Chaouchi avait capté une tentative de Kirm (60e). C'était avant son erreur lourde de conséquences. Grâce à ce premier succès en phase finale (trois défaites en 2002), la Slovénie s'empare de la tête du groupe C.

Source: francefootball

Photos du malheureux gardien de but l'algérien sur le but slovène

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Serbie - Ghana 0 - 1

Le Ghana à l'usure

Le Ghana a bien débuté la deuxième Coupe du monde de son histoire en s'imposant plutôt logiquement 1-0 face à la Serbie, grâce à un but tardif de Gyan sur penalty.

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A force de pousser, ça a fini par payer. Légèrement bousculés en première période par une équipe serbe qui a mieux tenu le ballon, les Ghanéens l'ont finalement emporté sur un penalty tardif du Rennais Gyan, suite à une main volontaire et plutôt incompréhensible de Kuzmanovic (84e). Il faut dire que leur domination, après la demi-heure de jeu, a été assez forte, les Serbes terminant la rencontre à dix à force de reculer. Le Ghana est donc la première équipe africaine à l'emporter dans ce Mondial sud-africain.

«Nous avons une équipe de champions», avait déclaré Radomir Antic, le sélectionneur serbe, avant la partie. Sans doute encore euphorique après la belle campagne de qualification de ses hommes (premiers de leur groupe devant la France !), il va donc vite devoir faire preuve d'un peu plus de modestie pour remotiver sa troupe, si talentueuse soit-elle. Un vrai défi pour l'ancien entraîneur de l'Atletico Madrid, du Real Madrid et du Barça, puisque se profile un match décisif dans ce groupe D face à l'Allemagne.

Côté ghanéen, en revanche, la porte d'un deuxième huitième de finale de suite s'est entrouverte : une victoire face à l'Australie au prochain match et l'affaire sera pliée. Cette défaite de la Serbie rend tout de même un Serbe heureux : Milovan Rajevac. Le sélectionneur ghanéen a aussi gagné son duel à distance avec son compatriote Antic.

Source: francefootball

Allemagne - Australie 4 - 0

L'Allemagne régale d'entrée

La jeune classe allemande a entamé le Mondial de la meilleure des manières, en étrillant l'Australie (4-0). Et en offrant aux amateurs de spectacle, un peu frustrés depuis le début du tournoi, le premier festival offensif.

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Elle est jeune, mais bien ambitieuse. En s'imposant d'entrée de jeu, et avec la manière, la Nationalmannschaft a parfaitement assumé son statut d'outsider crédible pour le titre mondial. Elle a aussi donné raison à son entraîneur Joachim Löw, qui avait promis avant le match que son équipe venait en Afrique du Sud pour coudre une 4e étoile sur son maillot. Pourtant, à y regarder de plus près, son discours ressemblait davantage à une méthode coué qu'à un objectif. Incapable de gagner le moindre titre depuis l'Euro 1996, même si elle a atteint sept fois la finale sur les quatorze dernières Coupes du monde, la sélection allemande semblait bien orpheline de son capitaine Michael Ballack. Et surtout de son expérience. Mais au regard de ce premier match, ses 34 ans auraient peut être fait tâche.
Klose égale Klinsmann

La plus jeune sélection allemande depuis 1934, avec à peine 25 ans de moyenne d'âge, a tout simplement surclassé une équipe australienne qui n'avait encaissé aucun but lors de 17 de ses 27 derniers matches. Compact défensivement, bien organisée au milieu et surtout très habile pour lancer des contre-attaques à 2000 à l'heure, elle a donné le tournis à la défense des Socceroos. Podolski a d'abord ouvert la marque d'une frappe sèche du gauche (8e), avant que Klose n'égale Jürgen Klinsmann en inscrivant son 11e but en Coupe du monde (26e). L'attaquant du Bayern n'est plus qu'à trois buts de Gerd Müller, recordman allemand (14), et quatre de Ronaldo (15). Et au regard de la qualité du jeu offensif allemand, il pourrait bien les dépasser dès cette Coupe du monde en Afrique du Sud.

«C'est la meilleure équipe d'Allemagne où j'ai évolué», avait aussi affirmé le capitaine Philipp Lahm avant le match. Franchement, le troisième but de Müller (68e) d'une frappe sèche croisée après un joli crochet sur le gardien, puis le dernier de Cacau (70e) au terme d'une action d'école lui donne bien raison. Alors bien sûr, l'exclusion de Cahill à la 56e minute a ruiné tous les espoirs australiens. Mais de toute façon, la différence de niveau était telle au Durban Stadium qu'ils doivent sans doute avoir envie de se mettre, ou se remettre, au rugby.

Source: francefootball

Trois matchs au programmes aujourd'hui

13 H 30 ( France 3 ): Pays-Bas - Danemark

16 H 00 ( France 3 ): Japon - Cameroun

20 H 30 ( TF 1 ): Italie - Paraguay

Pays-Bas - Danemark: 2 - 0

Les Pays-Bas démarrent bien

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Ce lundi, les Pays-Bas se sont imposés 2-0 face au Danemark qui s'est tiré une balle dans le pied avant que Kuyt ne double la mise en fin de match. Sans briller outre mesure, les Oranje, privés de Robben pour ce match, lancent parfaitement leur Mondial. (Photo Reuters)

Très attendue, l'équipe des Pays-Bas n'a pas manqué son entrée en lice. Les Oranje n'ont toutefois pas fait étalage du football total que les amateurs de football espéraient. Tant pis, on repassera. L'essentiel c'est cette victoire face au Danemark (2-0)qui lance idéalement les Néerlandais dans le tournoi. Dominateurs et volontaires, à l'image de leur latéral droit Gregory Van der Wiel, plein de bonnes intentions, les hommes de Bert Van Marwijk ont dû attendre la seconde période et un coup du sort pour ouvrir la marque.
Elia, le détonateur

Sur un centre de Robin Van Persie, Simon Poulsen ratait complètement sa tête, prolongée dans son propre but par le dos d'Agger (46e). En fin de rencontre, Dirk Kuyt doublait la mise (85e) en reprenant un tir sur le poteau d'Elia, auteur d'une superbe entrée en jeu. L'ailier d'Hambourg a tout bonnement mis au supplice l'arrière-garde danoise. Quelques instants plus tard, Afellay, également entré en cours de partie, était tout près de corser l'addition, mais S. Poulsen sauvait, cette fois-ci, superbement sur sa ligne. Malgré un décevant Van Persie, les Pays-Bas l'emportent donc sans trop trembler face à des Nordiques trop timides, même avec Bendtner, pourtant annoncé forfait. Ils devront montrés autre chose samedi face au Cameroun. Van Bronchorst et ses coéquipiers affronteront, eux, le Japon.

Source: francefootball

Japon - Cameroun: 1 - 0

Le Japon met le Cameroun au tapis

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L'affiche promettait une avalanche de buts pour le Cameroun, favori de son premier match du Mondial contre le Japon. Le résultat fut tout autre. Et tristes seront ceux qui auront misé sur les protégés de Paul Le Guen battus 1-0. Certains diront qu'il s'agit là d'une surprise, pas nous. Au terme d'un match soporifique, les Japonais ont tout simplement fait preuve de vaillance, de courage et d'une réussite incroyable, sur leur seule occasion de la rencontre signée Honda (39e - Photo Presse-Sports). Comme quoi il n'en fallait pas plus pour rendre une équipe heureuse.

On rappelle d'ailleurs souvent dans les écoles de football que dominer n'est pas gagner. La preuve une nouvelle fois ce lundi. Les Lions Indomptables n'ont jamais eu la moindre chance en leur faveur, à l'image de la chevauchée d'Eto'o (49e), de la frappe puissante de Mbia sur la barre (85e) ou encore de celle repoussée par Kawashima sur sa ligne dans les arrêts de jeu (90e+3). Alors forcément, la déception prime. Le Cameroun a raté son entrée dans la compétition et pourrait bien le payer cher. Déjà auteur d'une préparation désastreuse avec zéro victoire en quatre matches, la sélectionne africaine laisse planer un peu plus le doute pour la suite où elle devra affronter le Danemark (19 juin) et les Pays-Bas (24 juin). Ce n'est pas gagné...

Source: francefootball

Italie - Paraguay: 1 - 1

L 'Italie s'est fait peur

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Tenante du titre, l'Italie a éprouvé de grandes difficultés face au Paraguay. Menée au score avant la pause, la sélection transalpine a finalement arraché le point du nul (1-1). (Photo Presse-Sports)

Vieillissante, l'Italie n'avait pas vraiment les faveurs des pronostics à l'aube de cette Coupe du monde, malgré son statut de tenante du titre. Elle les aura encore moins après son premier match du mondial contre le Paraguay. Tenue en échec (1-1), la Nazionale a clairement montré ses limites. Et il faudra s'y faire : l'équipe est clairement en fin de cycle.

Poussive lors de ses matches de préparation, elle l'a encore été face aux Sud-Américains, même si tout n'a pas été à jeter. Du moins, sur certains secteurs de jeu. Si elle a été solide au milieu de terrain, même sans son chef d'orchestre Pirlo, elle est par moment passée à côté en défense comme en attaque. Cannavaro en a même oublié de sauter sur le coup de pied arrêté amenant l'ouverture du score d'Alcaraz (44e, 1-0). Gilardino et Iaquinta ont eux été inexistants devant le but de Villar. De quoi remettre en cause «l'expérience» prônée par Lippi.
De Rossi en sauveur

La Nazionale a conservé neuf champions du monde dans ses rangs (Buffon, Cannavaro, Zambrotta, Pirlo, Gattuso, De Rossi, Camoranesi, Iaquinta et Gilardino). Neuf joueurs trentenaires qui forment encore l'ossature de l'équipe. Un réel problème ? Il est encore tôt pour le dire, même si face à la fougue paraguayenne, les Italiens n'ont parfois pas tenu le rythme, à l'image de Buffon remplacé à la pause. Mais pourtant, ce sont bien les Camoranesi (entré en cours de jeu) et De Rossi qui ont finalement redynamisé le jeu transalpin.

Les deux hommes, en voyant les prestations médiocres de Iaquinta et Gilardino, ont pris les choses en mains. «De Rossi le comédien» en première période s'est transformé en «De Rossi le sauveur» en seconde. Le joueur de la Roma a profité d'une bourde du portier sur corner pour pousser le ballon au fond des filets et redonner espoir au peuple italien (63e, 1-1). Mais les Sud-Américains n'ont pas pris la deuxième place ex-aequo avec le Chili des éliminatoires de leur zone (un point derrière le Brésil) par hasard. Malgré les assauts d'une Italie retrouvée, le Paraguay a tenu le choc dans les dernières minutes pour partager les points. Plutôt logiquement

Source: francefootball

Trois matchs au programme aujourd'hui

13 H 30 (France 2): Nouvelle-Zélande - Slovaquie

16 H 00 (TF1): Côte d'Ivoire - Portugal

20 H 30 (TF1): Brésil - Corée du Nord

Nouvelle-Zélande - Slovaquie 1 - 1

Les All Whites ne lâchent rien

Incroyable scénario dans ce duel entre deux novices de la Coupe du monde. Pour son baptême du feu, la Slovaquie a concédé sur le fil le match nul (1-1), face à une surprenante équipe néo-zélandaise.

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Ni le concert assoudissant des vuvuzelas, ni le vent glacial, qui soufflait ce mardi après-midi sur le Royal Bafokeng Stadium de Rustenburg, n'avaient refroidi les ardeurs des Slovaques. Pour leurs premiers pas dans un Mondial, les hommes de Vladimir Weiss tenaient entre leurs mains une première victoire convaincante contre des All Whites, considérés comme le Petit Poucet du tournoi. Mais à la 93e minute, le parfum du succès s'envole quand sur un centre de Shane Smetlz, Winston Reid arrache le point du match nul sur une tête rageuse.

Dans un groupe F où figurent également l'Italie et le Paraguay, les partenaires de Marek Hamsik peuvent s'en mordre les doigts, après s'être efficacement imposés dans le camp adverse une bonne partie de la rencontre. Malgré une première période à l'avantage des Kiwis, la formation océanienne, trop timorée, a manqué de confiance et encore plus d'expérience à ce niveau pour faire douter la Slovaquie.

Dominer n'est pas gagner

Dominateurs dans le camp néo-zélandas, les Slovaques ont pourtant pris la seconde mi-temps à bras le corps. Et à la 50e minute, sur un centre bien ficelé de Stanislav Sestak, Robert Vittek plante une belle tête imparable pour le gardien Mark Paston. L'attaquant du club turc d'Ankaragüçü entre du même coup dans l'histoire du football comme le premier buteur slovaque dans un Mondial. Pour les All Whites, qui participent à leur deuxième Coupe du monde après le Mondial espagnol de 1982, ce résultat nul leur offre un ballon d'oxygène dans cette aventure sud-africaine.

Prochain rendez-vous pour la Slovaquie, dimanche (13h30), face au Paraguay. Le même jour, la Nouvelle-Zélande affrontera l'Italie (16 heures).

Source: francefootball

Côte d'Ivoire - Portugal 0 - 0

Un nul qui n'arrange personne

Dans le «groupe de la mort», la Côte d'Ivoire et le Portugal se sont neutralisés (0-0). Un résultat qui ne favorise aucune des deux équipes, qui devront encore affronter l'ogre brésilien.

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On devait voir ce qu'on devait voir. Opposés pour ce premier match dans le Groupe G, celui dit «de la mort» avec le Brésil et la Corée du Nord, le Portugal et la Côte d'Ivoire, qui avaient l'obligation de se signaler d'entrée, devaient nous éblouir. Gagner pour se positionner favorablement en vue de la deuxième place derrière le favori brésilien. Motivé comme jamais, Cristiano Ronaldo avait même promis «d'exploser» durant ce Mondial. Au final, la star portugaise a eu beau trouver le poteau après un joli mouvement (11e), il a ensuite fléchi devant des Ivoiriens accrocheurs. Le match a tout de même été de bonne facture, mais on était en droit d'en attendre davantage. Même le retour de l'icône du camp d'en face, Didier Drogba, n'a pas permis de débloquer les débats (0-0).
Ronaldo toujours muet, Drogba rentre

Muet depuis neuf matches sous le maillot de la Selecçao, Ronaldo n'a donc toujours pas trouvé l'ouverture, alors qu'il a scoré à 33 reprises en 35 matches de Liga et C1 cette saison. Le Ballon d'Or France Football 2008 devra attendre encore un peu. Les Eléphants se sont eux appuyés sur ce qui fait leur force : le physique. Sans parvenir à concrétiser non plus. Gervinho, le meilleur Ivoirien, s'est pourtant démené comme un beau diable mais ses tentatives ont manqué de précision (47e, 60e), tout comme celles de Tiéné (15e), Tioté (17e), Kalou (54e) et Y. Touré (66e). En toute fin de rencontre, les joueurs africains ont poussé pour forcer la décision mais Drogba, entré en jeu à la 66e, n'a trouvé personne sur un centre qui aurait pu s'avérer décisif.

Côté Portugais, Liedson a envoyé une tête à côté (58e) et Meireles une frappe hors cadre (78e). Ronaldo a tenté de faire la différence à lui tout seul mais la tâche était bien compliquée devant des Ivoiriens qui n'ont rien lâché et qui auront majoritairement dominé la rencontre au final. Après cette première joute frustrante sur le plan comptable, la Selecçao devra vite se reprendre. Lundi contre la Corée du Nord, elle devra obligatoirement l'emporter si elle veut sortir de sa poule. Elle aura l'avantage de connaître le résultat de la Côte d'Ivoire puisque la veille, les Eléphants auront défié les Brésiliens.

Source: francefootball

Brésil - Corée du Nord 2 - 1

Le Brésil aura mis le temps

Longtemps accroché par une vaillante équipe de Corée du Nord, le Brésil l'a finalement emporté (2-1). Pauvre dans le jeu, coupable de nombreuses approximations, la Seleçao devra se montrer bien plus inspirée si elle veut aller au bout.

Elano l'auteur du premier but du Brésil

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Si le Brésil souhaite se présenter avec une sixième étoile à domicile dans quatre ans, il va devoir en montrer beaucoup, mais alors beaucoup plus que mardi soir. Longtemps accrochée à Johannesbourg par une vaillante formation nord-coréenne à l'occasion de son entrée en lice tant attendue, la Seleçao n'a dû son salut qu'à une inspiration géniale- semble-t-il volontaire - de Maicon (55e minute) et un joli mouvement conclu par Elano (72e). Buteur sur un centre-tir vicieux depuis la ligne de sortie de but, le latéral droit de l'Inter a alors délivré tout un pays qui, à la surprise générale, souffrait pour faire la différence. Les Auriverde étaient alors tenus en échec par des joueurs asiatiques parfaitement regroupés et n'hésitant pas à gicler en contre. La star du pays, Jong Tae-se, avait ainsi été le premier à cadrer (11e).
Kaka, le ballon dort

La précision, justement, les Brésiliens en ont terriblement manqué avant de se lâcher une fois l'avantage obtenu au tableau d'affichage. Les spectateurs de l'Ellis Park ont assisté à un festival d'approximations symbolisé par un homme : Kaka. A l'image de sa saison au Real Madrid, le Ballon d'Or France Football 2007 a été l'ombre de lui-même. Perturbé depuis sa blessure aux adducteurs, le numéro 10 de la Seleçao n'a plus la capacité à accélérer et surtout créer des différences comme il le faisait sous le maillot de l'AC Milan. Mardi soir, c'était criant. Si Kaka reste sur un seul but en douze sélections, ce n'est pas un hasard. Si le Brésil veut aller au bout, le Madrilène va devoir vite s'y remettre.

Très critiqué dans son pays malgré les titres décrochés ces dernières années (Copa America 2007, Coupe des Confédérations 2009), Dunga aurait peut-être été inspiré de prendre par exemple Ronaldinho, capable de délivrer des caviars et faire la décision sur coup de pied arrêté. Il est trop tard désormais. Grand favori de la compétition avec l'Espagne, le Brésil, qui a connu l'affront en fin de match d'encaisser un but nord-coréen, l'oeuvre de Ji Yu-nam (89e), a du pain sur la planche. Il faudra se montrer bien plus tranchant dimanche face à la Côte d'Ivoire, qui a inquiété le Portugal (0-0), plus tôt dans la journée. Un bon point néanmoins : en défense sur son côté gauche, Bastos s'est montré à nouveau à l'aise. C'est toujours ça de pris.

Source: francefootball

Les bresiliens partent favoris!!!

pas les brésiliens qui parte favoris mais les espagnols cette année


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Voici les trois matchs du jour

13 H 30(France 2): Honduras - Chili

16 H 00(TF1): Espagne - Suisse

20 H 30(France 2): Afrique du Sud - Uruguay