Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
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Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Goooooooooooooooooooooaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
des Puyol
des Puyol
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Ce soir à 20 H 30 sur TF1 a lieu le match pour la troisième place Uruguay - Allemagne
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Uruguay - Allemagne 2 - 3
l'Allemagne termine en beauté
Pour la 4e fois de son histoire, et comme en 2006, l'Allemagne termine troisième d'une Coupe du monde (1934, 1970, 2006), grâce à sa victoire (3-2) face à l'Uruguay dans la petite finale.
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l'Allemagne va forcément quitter l'Afrique du Sud avec quelques regrets. Notamment celui d'avoir été trop timide contre l'Espagne en demi-finale (0-1). Son dernier succès, ce samedi soir à Port Elizabeth au stade Nelson Mandela, ne la consolera pas complètement. C'est certain. Mais il prouve que cette équipe fait bel et bien partie des meilleures équipes au monde, aussi bien techniquement que mentalement. Le manque d'expérience de cette Mannschaft, la plus jeune en Coupe du monde depuis 1934, n'a pas pardonné face aux champions d'Europe espagnols en demies. Face à l'Uruguay, cela n'a pas été un handicap tant son mental a encore été à la hauteur. Menée 2-1 à quarante minutes de la fin, la bande à Joachim Löw n'a pas baissé la tête, revenant vite au score grâce à Jansen, bien aidé par la sortie hasardeuse de Muslera (56e). Avant de faire plier la forteresse uruguayenne sur un corner mal dégagé par la défense, dont Khedira a bien profité (82e).
Klose ne dépassera pas Ronaldo cette année
La Nationalmannschaft ne sera pas championne du monde pour la première fois depuis 1990. Elle ne gagnera pas non plus son premier titre depuis 1996 et son Euro à domicile. Et Miroslav Klose, apparemment blessé au dos et donc remplaçant ce samedi soir, ne deviendra pas, en tout cas pas tout de suite, le meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde. Son compteur reste bloqué à 14 unités avant le prochain Mondial qui se déroulera sur ses terres d'origine, en Pologne. A 32 ans, il fait d'ailleurs partie des rares joueurs de cette équipe à ne pas être sûrs de rejouer une telle compétition. Lui aussi quitte donc l'Afrique du Sud avec un goût d'inachevé dans la bouche. Forcément.
Forlan et Müller reviennent sur Villa avec cinq buts
Alors finalement, seuls les Uruguayens, même s'ils sont passés tout près d'un exploit énorme, peuvent s'estimer heureux de finir dans le dernier carré. D'une part parce qu'avant le tournoi, personne ou presque n'aurait misé un centime sur eux. Mais aussi parce que sans la main miraculeuse de Suarez sur sa ligne à la 120e minute du quart de finale contre le Ghana (1-1, 4-2 aux tab), ils ne seraient sans doute jamais passés. Diego Forlan, lui, a vraiment frôlé l'exploit. Auteur d'un ciseau magnifique à la 51e minute, il termine avec cinq buts au compteur et aurait pu passer devant David Villa et Thomas Müller, premier buteur du soir (19e) et également auteur de trois passes décisives dans le tournoi, au classement des buteurs. Mais son coup franc à la dernière seconde a fracassé le haut de la barre de Butt. Personne ne lui en voudra. Pas plus qu'à l'Allemagne, que les amateurs de beau jeu ont vraiment hâte de retrouver dans quatre ans.
Source: francefootball
l'Allemagne termine en beauté
Pour la 4e fois de son histoire, et comme en 2006, l'Allemagne termine troisième d'une Coupe du monde (1934, 1970, 2006), grâce à sa victoire (3-2) face à l'Uruguay dans la petite finale.
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l'Allemagne va forcément quitter l'Afrique du Sud avec quelques regrets. Notamment celui d'avoir été trop timide contre l'Espagne en demi-finale (0-1). Son dernier succès, ce samedi soir à Port Elizabeth au stade Nelson Mandela, ne la consolera pas complètement. C'est certain. Mais il prouve que cette équipe fait bel et bien partie des meilleures équipes au monde, aussi bien techniquement que mentalement. Le manque d'expérience de cette Mannschaft, la plus jeune en Coupe du monde depuis 1934, n'a pas pardonné face aux champions d'Europe espagnols en demies. Face à l'Uruguay, cela n'a pas été un handicap tant son mental a encore été à la hauteur. Menée 2-1 à quarante minutes de la fin, la bande à Joachim Löw n'a pas baissé la tête, revenant vite au score grâce à Jansen, bien aidé par la sortie hasardeuse de Muslera (56e). Avant de faire plier la forteresse uruguayenne sur un corner mal dégagé par la défense, dont Khedira a bien profité (82e).
Klose ne dépassera pas Ronaldo cette année
La Nationalmannschaft ne sera pas championne du monde pour la première fois depuis 1990. Elle ne gagnera pas non plus son premier titre depuis 1996 et son Euro à domicile. Et Miroslav Klose, apparemment blessé au dos et donc remplaçant ce samedi soir, ne deviendra pas, en tout cas pas tout de suite, le meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde. Son compteur reste bloqué à 14 unités avant le prochain Mondial qui se déroulera sur ses terres d'origine, en Pologne. A 32 ans, il fait d'ailleurs partie des rares joueurs de cette équipe à ne pas être sûrs de rejouer une telle compétition. Lui aussi quitte donc l'Afrique du Sud avec un goût d'inachevé dans la bouche. Forcément.
Forlan et Müller reviennent sur Villa avec cinq buts
Alors finalement, seuls les Uruguayens, même s'ils sont passés tout près d'un exploit énorme, peuvent s'estimer heureux de finir dans le dernier carré. D'une part parce qu'avant le tournoi, personne ou presque n'aurait misé un centime sur eux. Mais aussi parce que sans la main miraculeuse de Suarez sur sa ligne à la 120e minute du quart de finale contre le Ghana (1-1, 4-2 aux tab), ils ne seraient sans doute jamais passés. Diego Forlan, lui, a vraiment frôlé l'exploit. Auteur d'un ciseau magnifique à la 51e minute, il termine avec cinq buts au compteur et aurait pu passer devant David Villa et Thomas Müller, premier buteur du soir (19e) et également auteur de trois passes décisives dans le tournoi, au classement des buteurs. Mais son coup franc à la dernière seconde a fracassé le haut de la barre de Butt. Personne ne lui en voudra. Pas plus qu'à l'Allemagne, que les amateurs de beau jeu ont vraiment hâte de retrouver dans quatre ans.
Source: francefootball
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Ce soir a lieu la grande finale sur TF1 à 20 H 30: Pays-Bas - Espagne
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Primes : du simple au double
En cas de victoire, dimanche en finale de la Coupe du monde, Espagnols et Néerlandais ne seront pas récompensés financièrement à la même hauteur. S'ils l'emportent, les joueurs de la Seleccion toucheront une prime exceptionnelle de 600.000 euros, révèle dimanche Le Parisien. Si au contraire les Oranje sont sacrés, Sneijder et ses partenaires obtiendront un cachet individuel de 300.000 euros, selon la presse néerlandaise. Pas besoin d'être bon en mathématiques pour comprendre que les Ibères seraient deux fois plus payés que leurs adversaires.
En cas de victoire, dimanche en finale de la Coupe du monde, Espagnols et Néerlandais ne seront pas récompensés financièrement à la même hauteur. S'ils l'emportent, les joueurs de la Seleccion toucheront une prime exceptionnelle de 600.000 euros, révèle dimanche Le Parisien. Si au contraire les Oranje sont sacrés, Sneijder et ses partenaires obtiendront un cachet individuel de 300.000 euros, selon la presse néerlandaise. Pas besoin d'être bon en mathématiques pour comprendre que les Ibères seraient deux fois plus payés que leurs adversaires.
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Pays-Bas - Espagne 0 - 1 Après Prolongations
La bonne étoile de l'Espagne
Victorieuse au bout de la prolongation face aux Pays-Bas (1-0 a.p.), grâce à un but d'Iniesta (116e), l'Espagne remporte la première Coupe du monde de son histoire. La première, aussi, sur le continent africain. Championne d'Europe en titre, elle devient aussi la première nation européenne à remporter le trophée hors de son continent et fait le doublé Euro-Coupe du monde. Chapeau bas.
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Facile à dire après coup, direz-vous. Mais le scénario de cette XIXe Coupe du monde devait être original. Et rien à voir l'intrigant pronostiqueur Paul le poulpe, qui avait encore vu juste. Le premier sacre de l'histoire de l'Espagne, même si elle faisait partie des favoris, justifie ce constat. La Roja attendait ça depuis 80 ans. Et c'est finalement à l'issue d'une finale inédite entre des équipes européennes incapables de ramener le Trophée sur leur continent depuis le premier tournoi en 1930 qu'elle l'a fait. Voilà pour les faits les plus parlants. L'Espagne n'est pourtant pas devenue le huitième pays à broder une étoile sur son maillot (après l'Uruguay, l'Italie, le Brésil, l'Angleterre, l'Allemagne, l'Argentine, et la France) par hasard.
L'Espagne a changé son jeu
Les sons assourdissants et originaux des Vuvuzelas, jusqu'alors inconnus en Europe, diffus dans le ciel hivernal sud-africain ont vraisemblablement inspiré la Roja. Quatre ans après son sacre flamboyant en Autriche et en Suisse, elle a d'abord bâti son premier succès mondial sur une défense de fer. Ironie de l'histoire, c'est Fabio Cannavaro, pur défenseur, Ballon d'Or France Football 2006 suite au sacre mondial de l'Italie, qui a remis le Trophée de la Coupe du monde. Certes, David Villa termine meilleur buteur du tournoi avec cinq buts, mais force est de constater que c'est d'abord grâce à sa solidité que cette équipe grimpe sur toît du monde. Elle est la deuxième formation la moins prolifique de l'Histoire avec douze petits buts marqués, juste derrière l'Italie (11 buts en 38), l'Angleterre (11 buts en 66) et le Brésil (11 buts en 94). Mais sa possession de balle et son utilisation au milieu de terrain fait rêver. Rien à dire. A tel point que De Jong et van Bommel, bien vite frustrés de courir derrière le ballon, auraient dû être exclus avant la demi-heure de jeu pour deux fautes honteuses sur Iniesta et Busquets. Monsieur Webb a quant à lui eu un mal fou à tenir son match. Au finale, il a donné 14 cartons jaunes et un rouge (Heitinga).
Des signes qui ne trompent pas
Tout de même assez ouverte, cette rencontre était bel et bien destinée a tourner à l'avantage des Espagnols. Et a finir sur le même score que tous leurs matches à élimination directe (1-0). Même si le week-end avait mal commencé dans le pays après la défaite (0-5) en Coupe Davis, la 14e place de Fernando Alonso à Silvertsone, ou encore l'étape alpestre peu emballante d'Alberto Contador sur le Tour de France. Les Pays-Bas restaient sur 14 victoires de suite en matchs officiels, n'avaient plus perdu depuis juin 2006, mais sont tombés sur une équipe fidèle à ses principes depuis le début.
Une défense de fer, un milieu renforcé avec Xabi Alonso et Sergio Busquets, pour deux petits buts encaissés durant le tournoi, un coaching très inspiré de Del Bosque pendant tout le tournoi (entrées successives de Llorente en quart, de Fabregas en demie et en finale). Et des talents hors normes : Casillas a sauvé l?équipe en quart contre le Paraguay en arrêtant un penalty puis contre les Pays-Bas (62e seul devant Robben), Villa a assumé son rang, et Iniesta restera à tout jamais comme un joueur fin, décisif et romantique. Son tee-shirt arboré après son but en la mémoire de Daniel Jarque, joueur de Séville mort en pré-saison il y a deux ans, en dit long sur l'état d'esprit de cette Espagne. A croire que, tout là haut dans le ciel africain, Jarque veillait sur l'Espagne depuis le début. Cette première étoile, elle est aussi un peu pour lui.
Source: francefootball
La bonne étoile de l'Espagne
Victorieuse au bout de la prolongation face aux Pays-Bas (1-0 a.p.), grâce à un but d'Iniesta (116e), l'Espagne remporte la première Coupe du monde de son histoire. La première, aussi, sur le continent africain. Championne d'Europe en titre, elle devient aussi la première nation européenne à remporter le trophée hors de son continent et fait le doublé Euro-Coupe du monde. Chapeau bas.
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Facile à dire après coup, direz-vous. Mais le scénario de cette XIXe Coupe du monde devait être original. Et rien à voir l'intrigant pronostiqueur Paul le poulpe, qui avait encore vu juste. Le premier sacre de l'histoire de l'Espagne, même si elle faisait partie des favoris, justifie ce constat. La Roja attendait ça depuis 80 ans. Et c'est finalement à l'issue d'une finale inédite entre des équipes européennes incapables de ramener le Trophée sur leur continent depuis le premier tournoi en 1930 qu'elle l'a fait. Voilà pour les faits les plus parlants. L'Espagne n'est pourtant pas devenue le huitième pays à broder une étoile sur son maillot (après l'Uruguay, l'Italie, le Brésil, l'Angleterre, l'Allemagne, l'Argentine, et la France) par hasard.
L'Espagne a changé son jeu
Les sons assourdissants et originaux des Vuvuzelas, jusqu'alors inconnus en Europe, diffus dans le ciel hivernal sud-africain ont vraisemblablement inspiré la Roja. Quatre ans après son sacre flamboyant en Autriche et en Suisse, elle a d'abord bâti son premier succès mondial sur une défense de fer. Ironie de l'histoire, c'est Fabio Cannavaro, pur défenseur, Ballon d'Or France Football 2006 suite au sacre mondial de l'Italie, qui a remis le Trophée de la Coupe du monde. Certes, David Villa termine meilleur buteur du tournoi avec cinq buts, mais force est de constater que c'est d'abord grâce à sa solidité que cette équipe grimpe sur toît du monde. Elle est la deuxième formation la moins prolifique de l'Histoire avec douze petits buts marqués, juste derrière l'Italie (11 buts en 38), l'Angleterre (11 buts en 66) et le Brésil (11 buts en 94). Mais sa possession de balle et son utilisation au milieu de terrain fait rêver. Rien à dire. A tel point que De Jong et van Bommel, bien vite frustrés de courir derrière le ballon, auraient dû être exclus avant la demi-heure de jeu pour deux fautes honteuses sur Iniesta et Busquets. Monsieur Webb a quant à lui eu un mal fou à tenir son match. Au finale, il a donné 14 cartons jaunes et un rouge (Heitinga).
Des signes qui ne trompent pas
Tout de même assez ouverte, cette rencontre était bel et bien destinée a tourner à l'avantage des Espagnols. Et a finir sur le même score que tous leurs matches à élimination directe (1-0). Même si le week-end avait mal commencé dans le pays après la défaite (0-5) en Coupe Davis, la 14e place de Fernando Alonso à Silvertsone, ou encore l'étape alpestre peu emballante d'Alberto Contador sur le Tour de France. Les Pays-Bas restaient sur 14 victoires de suite en matchs officiels, n'avaient plus perdu depuis juin 2006, mais sont tombés sur une équipe fidèle à ses principes depuis le début.
Une défense de fer, un milieu renforcé avec Xabi Alonso et Sergio Busquets, pour deux petits buts encaissés durant le tournoi, un coaching très inspiré de Del Bosque pendant tout le tournoi (entrées successives de Llorente en quart, de Fabregas en demie et en finale). Et des talents hors normes : Casillas a sauvé l?équipe en quart contre le Paraguay en arrêtant un penalty puis contre les Pays-Bas (62e seul devant Robben), Villa a assumé son rang, et Iniesta restera à tout jamais comme un joueur fin, décisif et romantique. Son tee-shirt arboré après son but en la mémoire de Daniel Jarque, joueur de Séville mort en pré-saison il y a deux ans, en dit long sur l'état d'esprit de cette Espagne. A croire que, tout là haut dans le ciel africain, Jarque veillait sur l'Espagne depuis le début. Cette première étoile, elle est aussi un peu pour lui.
Source: francefootball
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
dommage pour les pays bas, j'avais une petite préference pour eux, mais quand meme, BRAVO AUX ESPAGNOLS
fly38- Admin
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Date d'inscription : 15/06/2010
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Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Lors d'un interview avec une journaliste espagnol Iker Casillas ce lâche cette journaliste n'ai autre que Madame Casillas sais beau l'amour
Re: Coupe du Monde de FootBall 2010 en Afrique du Sud
Pépé Reina le gardien de but mais l'ambiance dans l'avion du retour
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